Premier Passage!

Mais, ma chère, vous n'avez nullement à vous sentir gêné. Un titre de noblesse sur une noble demoiselle, rien de plus normal.

Pour ma part, peu importe qui que vous soyez et le métier ( ) que vous pratiquez, j'emploierais votre titre pour m'adresser à vous

Marvailh bombe le torse.

Hmm et de 3
Merci messire!

De 3 ??? Diantre, j'espère que les 2 précédents ne se sont pas retrouvé 6 pieds sous terre ...

Non non, je leur ai dit merci à eux aussi ^^
Et j'enterre que les morts (consience professionnelle oblige), sauf cas particulier...
Rassurez-vous, les bouquets de fleurs ne m'ont jamais offensée

Eh bien ! Eh bien !

Moi je suis tout à fait d'accord que Damoiselle Marvailh na pas besoin de particule pour être noble à mes yeux.
Un bouquet à vous offrir je m'y tiendrais poliement, si j'étais plus prétentieux à vos faveurs je déclamerais votre charme sous les nuages. Mais que fît des mots quand je me veux effleurer votre peau. Pardonner moi, je m'égare en ce instant. Vous me troublé Damoiselle, juger en par ce que je vous ais dit plus tôt.

Marvailh ne sait plus où donner de la tête. Qu'est-ce qu'ils ont, tous, en ce moment? Pourtant, avec 4 en charisme, ses cheveux bleus et sa pelle rouillée, elle devrait plutôt les faire fuir...

Vos compliments me touchent, messires... surtout le discours de Terenemar, ça donne envie de se pencher langoureusement à un balcon fleuri, enroulée dans une robe de tulle rose, ses longs cheveux blonds (bon, d'accord, bruns...) coulant dans le dos, et les joues rougissantes

Marvailh se demande pourquoi elle ne s'est pas inscrite dans une liste ducale plus tôt
... et pourquoi le principal interressé préfère tout ignorer plutôt que de les imiter

adore cette ambiance bon enfant...manque plus que le jeté de petales de roses

Bon a cela je rajoute ma filleule Tifenn de pPenthreste ... on lui fait bon acceuil messieurs ^^ masi elle a le coeur prit ailleurs ^^

Se dit q'uelle ouvrira une agence de rencontre aprés les ducales^^

Hahaha des pétales roses haha !
Des sites de rencontre hahaha !
Et ben faites moi penser à ne pas amener Marvailh ici elle aussi risque de se faire draguer ...

Mais ?! Que ?! (lébôôô^)

Eh bien Damoiselle Marvailh, je ne demande qu'a voir cela ! Ces dires reveillent déja en moi des rêves que certains sauraient être déplacés.
Mais ne voyez pas en cela d'indécentes propositions, juste une légère inconvenance pour vous approchez au plus pret et faire naitre en vous sourire et tendre regard.

Lui sourit amusé de la tournure que prend les évènements en ces lieux.

Dzoïng dzoïng ...

Pas vraiment ténébreux, veuf ou inconsolé,
Ni roi de Normandie,
J'ai perdu de mes voeux et à grand cris la clé,
De mes sens éblouis.

Elle etend ses rameaux sur chaque point de mon corps,
Seulement par son rire,
Et je ceuille chaque mot comme les pommes d'or,
Comme l'éssence du désir.

L'approcher et lui plaire, juste avant mon trépas,
Le plan est à l'étude,
Je ne sais comment faire et ne m'en blâmez pas,
La concurrence est rude.

La silice recouvre mes yeux, mon visage,
Je ne suis plus hélas,
Et mon cerceuil s'ouvre je contemple un mirage,
Mais mon âme est si lasse.

Et pendant cet instant je suis homme qui meurt,
Et je pars satisfait,
J'aperçoit en mourant que l'élue de mon coeur
Est venue m'enterrer.

Mon cher SergueiBorav, je vous félicité pour votre prestation. Mais savoir réciter de fort beaux poèmes importe peu. Ce qui est le plus important : c'est le rire "L'amour, l'amitié, c'est surtout rire avec l'autre, c'est partager le rire que de s'aimer"

En cela, il faut savoir amuser une demoiselle. Après tout, elle peut très bien voir passer jour après jour des beaux mecs, certes, à l'état cadavérique ici, mais bon. En tout cas, ce n'est pas en récitant des poèmes appris auprès d'un troubadour de passage que l'on peut l'émerveiller. Montrez vous original, que diable ! Innovez, inventez, et surtout, surprenez là. Ainsi, vous la ferez rire, et le rire, c'est déjà une porte sur son cœur.
Riez avec elle, c'est déjà partagé une émotion, c'est déjà se sentir en quelques sortes uni par une même passion.

J'espère que vous comprenez cette clé (le rire) que je trouve essentielle pour conquérir un coeur.

En attendant, vous avez récité un fort beau poème, et je m'en voudrais de ne pas en réciter un, moi aussi ...

Torhn s'éclaircit la voie, prend une des roses qui se trouvaient dans les pots de fleurs au coin de la salle qu'il offre à Marvailh de Lys-Garance, puis il attrapa une mandoline commença à chantonner :

Citation :

Comme la voix d'un mort qui chanterait
Du fond de sa fosse,
Maîtresse, entends monter vers ton retrait
Ma voix aigre et fausse.

Ouvre ton âme et ton oreille au son
De ma mandoline :
Pour toi j'ai fait, pour toi, cette chanson
Cruelle et câline.

Je chanterai tes yeux d'or et d'onyx
Purs de toutes ombres,
Puis le Léthé de ton sein, puis le Styx
De tes cheveux sombres.

Comme la voix d'un mort qui chanterait
Du fond de sa fosse,
Maîtresse, entends monter vers ton retrait
Ma voix aigre et fausse.

Puis je louerai beaucoup, comme il convient,
Cette chair bénie
Dont le parfum opulent me revient
Les nuits d'insomnie.

Et pour finir je dirai le baiser,
De ta lèvre rouge,
Et ta douceur à me martyriser,
- Mon Ange ! - ma Gouge !

Ouvre ton âme et ton oreille au son
De ma mandoline :
Pour toi j'ai fait, pour toi, cette chanson
Cruelle et câline.

Haha, vous me flattez mon cher Thorn, car ce poème je l'ai bel et bien innové ! En revanche vous, vous avez repris un écrit déja éxistant me semble t-il ^^. Les poèmes Saturnien du prince vous inspirent, je ne saurais vous en conseiller de plus beaux, mais de grâce, inventez, innovez, surprenez la !

J'ai un talent inné avec les femmes soit dit sans plaisanter, je devine avec exactitude leur poète préféré ... Pour Marvailh je devine qu'elle préférera l'amant de votre génie inspirateur, dont voici la plus belle oeuvre :

Le bal des pendus.

Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.

Messire Belzébuth tire par la cravate
Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel,
Et, leur claquant au front un revers de savate,
Les fait danser, danser aux sons d'un vieux Noël !

Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêles :
Comme des orgues noirs, les poitrines à jour
Que serraient autrefois les gentes damoiselles,
Se heurtent longuement dans un hideux amour.

Hurrah ! les gais danseurs qui n'avez plus de panse !
On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs !
Hop ! qu'on ne cache plus si c'est bataille ou danse !
Belzébuth enragé racle ses violons !

O durs talons, jamais on n'use sa sandale !
Presque tous ont quitté la chemise de peau ;
Le reste est peu gênant et se voit sans scandale.
Sur les crânes, la neige applique un blanc chapeau :

Le corbeau fait panache à ces têtes fêlées,
Un morceau de chair tremble à leur maigre menton :
On dirait, tournoyant dans les sombres mêlées,
Des preux, raides, heurtant armures de carton.

Hrrah ! la bise siffle au grand bal des squelettes !
Le gibet noir mugit comme un orgue de fer !
Les loups vont répondant des forêts violettes :
À l'horizon, le ciel est d'un rouge d'enfer...

Holà, secouez-moi ces capitans funèbres
Qui défilent, sournois, de leurs gros doigts cassés
Un chapelet d'amour sur leurs pâles vertèbres :
Ce n'est pas un moustier ici, les trépassés !

Oh ! voilà qu'au milieu de la danse macabre
Bondit dans le ciel rouge un grand squelette fou
Emporté par l'élan, comme un cheval se cabre :
Et, se sentant encor la corde raide au cou,

Crispe ses petits doigts sur son fémur qui craque
Avec des cris pareils à des ricanements,
Et, comme un baladin rentre dans la baraque,
Rebondit dans le bal au chant des ossements.

Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.

Torhn soupira ...

Peu, un talent inné pour copier les illustres poèmes. Ici, c'est le Bal des Pendus de Rimbaud, mais cela reste une copie.
Comme je vous l'ai dit, c'est à la portée de tout le monde, comme je l'ai fait. Mais vous pouviez innover, et changer de refrain. Moi, je ne continuerais pas sur ce terrain, qui est propice aux impostures et usurpation d'identité.

Vous pourriez, par exemple, vous approcher de celle que vous chérissez, la complimenter, comme par exemple : "Ma mie, vos yeux ont un regard de braise qui me transperce." ou encore "vos yeux sont d'un bleu si intense qu'on dirait un océan, une mer de tendresse où j'aimerais m'y noyer avec ivresse".

Vous pourriez aussi la complimenter sur ses vêtements, son allure, son métier, et rajouter par dessus quelques mots d'une douceur extrême, comme "L'océan se noie dans une goutte de tendresse" afin de lui faire comprendre vos sentiments.

Pour aller encore plus loin, vous pourriez aussi lui offrir des fleurs et comparez sa grâce, sa beauté, à celle ce bouquet. (Remarque, évitez les compliments sur les épines des roses, c'est un conseil) Ou sinon, offrez lui un robe qui va avec sa couleur de cheveux, ou encore un bijou qui aille avec ses magnifiques mains.
Nous parlons de Marvailh de Lys-Garance, vous pourriez même lui offrir une nouvelle pelle afin qu'elle ne se fatigue moins. (Remarque pour la pelle, je vous conseille de l'emballer, et non de tenter de lui rouler, sinon, vous pourriez vous prendre un râteau)

Mais, si vous ne parvenez toujours pas à conquérir son cœur, vous pourriez tenter de défier votre rival. Enfin bon, je dis ça, mais je dis rien. Après tout, pour vous, c'est peine perdu

Torhn fit un clin d'œil à Marvailh de Lys-Garance

Marvailh, assise au fond de la rotonde, hume la rose que lui a offert Thorn. Elle avait souri à certains vers des poèmes de ses admirateurs, avait soupiré à d'autres, et se demande avec curiosité si messire Serguei avait réellement inventé de tels mots.

Je suis touchée par tant d'attentions, messires, dit-elle, rougissante. Je ne sais pas ce que j'ai bien pu dire ou faire pour mériter tout cela, mais...

Elle se redresse, rajuste son bustier et fait voleter ses cheveux...

... j'avoue que j'adore me trouver au centre d'une cour de beaux damoiseaux très inspirés par leur muse
Vous écrivez tous de très jolis mots, même ceux qui sont copiés sur d'autres, et j'apprécie aussi cette rotonde spécialement dédiée à ce genre de choses...
Messire Thorn, faire rire une femme, c'est bien, après tout, comme dit le proverbe "Femme qui rit à moitié dans ton lit" cependant...

Marvailh fait une petite moue boudeuse tout à fait charmante...

... vos vers ne sont pas très drôles... Il y faudrait plus de fantaisie... Vous êtes cependant le plus audacieux dans vos compliments, j'attend donc quelque chose de semblable de la part de messire Serguei
Quant à vous, messire Serguei, votre poème est d'une rare beauté. Est-ce vraiment de vous? Messire Thorn a raison, vous savez, j'adore les belles robes, les jolis bijoux, les compliments, charmez-moi, que diable!

Marvailh passe une main dans ses cheveux et leur adresse à tous les deux un clin d'oeil évocateur...

Je dirais juste pour vous faire comprendre mon propre point de vue. Il n'y a pas de recette. Une recette c'est pour éduire, c'est dans l'apparence mais si vos beaux principes ne sont appliqués qu'afin de conquerir la belle, elle ne restera pas longtemps. Privilègiez l'ètre au paraître. Je suis ce que je suis, je complimente quand j'ai envie de complimenter, je séduit par ma personnalité pas par des techniques, des stratègies ...

J'aime beaucoup vos cheveux ^^ et votre poète préféré ^^.

Privilégiez l'être au paraître ??? Alors, à mes yeux, vous n'avez aucune valeur, hormis celle d'un homme viril pensant à son nombril !

Elle fera une gaffe, vous lui direz "maladroite" parce que vous pensez à ça??? Quand elle aura son point de vue, vous aurez le vôtre sans essayer d'entendre ses arguments ???

Ce n'est pas comme ça que se construit une vie à 2. Pour vivre ensemble, il faut tout d'abord savoir conquérir la belle, lui montrer son amour, mais surtout, montrer que l'on est présent, que l'on est avec elle, POUR elle. Être séducteur et charmeur, un peu, mais pas trop. Séduire avec sa personnalité, certes. Être bien dans sa peau : essentielle. Mais avant tout : SAVOIR ECOUTER !!! La clé d'un couple est essentiellement du à ce ciment nommé : la communication.

Une femme, c'est comme une fleur, trop d'eau, elle fane, pas assez d'attention, elle flétrie. Il faut avoir le juste milieu, savoir s'occuper d'elle, prendre soin d'elle, de ses désirs, et l'écouter. Un couple sur la même longueur d'onde doit savoir sacrifier son bien personnel afin de préserver l'union des deux amoureux.

De plus, j'ajouterais qu'un homme se doit d'aimer sa femme, non pas pour la couleur (ou le parfum) de cette fleur qui pousse au printemps, mais pour la plante elle-même, même si cela exige quelques concessions de votre part. Une femme représente la beauté d'une fleur, oui, mais aussi l'arbuste qui donne cette fleur. Alors, ne pensez pas uniquement à vous. Ne lui dites pas, je connais ton poète préféré, je pourrais t'en réciter toute la journée, mais écoutez la !!! (évite de trop la faire soupirer en lui récitant toujours la même chose)

J'ajouterais d'ailleurs qu'une femme s'exprime souvent par la gestuelle, et dans le ton, et presque toujours indirectement. Parfois, elle s'approche de vous et vous dit "il fait beau dehors". Comprenez le message caché, sachez interprété ce qu'elle veut. Elle n'est pas aussi brutale que nous, elle utilise de la finesse afin de nous faire percevoir ses idées, comme "j'aimerais bien profiter de ce beau temps pour aller promener".

Vous, en revanche, je suis sûr que chacune de vos paroles sont telle que vous les pensez : dénués de sens caché, alors, comment pouvez même espérer sortir avec une personne dont vous serez incapable de comprendre les désirs ???

Tachez de méditer ce que j'ai tenté de vous dire, apprenez de vos erreurs, sachez admettre vos faiblesses afin de progresser, et pour devenir plus fort ... pour elle

Torhn se retourna vers Marvailh, puis lui dit :

Je vais prendre congé, désolé de vous laisser avec cette compagnie, mais je désire aller visiter un peu plus le domaine de la baronne. Je n'ai pas encore tout vu. Peut-être nous reverrons nous dans les jardins

Torhn sorti de la salle, et s'éloigna dans le couloir, tandis qu'un des serviteurs lui indiquait le chemin pour aller dans les jardins

Terenemar afficha une mine triste.

- Je vous écoute, et moi je suis la, sans mot, sans dire. Ô que je ne prétend pas être pour vous le parfait amant. Je ne suis que ce que je vous présente. Je suis simple, je n'ai pas toute les connaiscance que ces sires vous déballent. Je n'ai pas leur verves et leur assurance.

Il se replia un instant sur lui même avant de reprendre.

- Je ne peux hélas que vous garantir ma franchise et mon honnéteté. Des instants simple et partagé. Des attentions douces et mesurée. Je suis un simple.

Il se retourna et croisa les bras un instant.

Fait de multiples éclats ;
Ils illuminent la vie ;
Resplendissent comme aucun ne fera ;
Mais touts ces éclats sont ceux de la vie ;

Autour de moi ils brillent ;
Mais jamais à moi ne se joigne ;
Et en couple ils tournent et grésillent ;
Nul n’est pour moi et j’en témoigne ;

Tout est beauté dans ces être étoilés ;
Et de leur union rayonne la joie ;
Sous la firme, la voie lactée ;
Signe que tout ça n’est pas pour moi ;

Et de ces être qui ainsi s’aime ;
Une force immense les inondes ;
La, pour eux, dans leur cœur sans haine ;
Et moi, seul, perdu dans ce monde.

Je pense simplement que réduire les femmes a des règles, mettre en place des recettes pour séduire ça ne mène pas bien loin.
Ensuite, si j'ai la conscience de dire les choses franchement, j'espère qu'elle aura aussi ce reflexe evidemment que je sais écouter, j'ai dis "ètre" pas "imposer".
Il est un peu facile d'interpreter mes paroles de la sorte, surtout qu'elle n'ont d'autre but que de prouver à la belle que vous savez philosopher, chose qui n'est surement pas dans vos habitudes quotidiennes. C'est donc la flouer quelque part.
Et enfin, j'imagine pour ma part que Terenemar a plus de succès que nous, les deux gros bras qui nous battons. Humble, discret, sincère ... En plus il écrit des poèmes divin, je lui aurais donné la palme sans hésiter ^^ Venez ici mon gros loup !
Tout ça pour vous dire Tornh que ... Mais ?! Ou est il passé ?

Marvailh, qui hume toujours la rose que lui a donné Thorn, aperçoit Yud et vient s'asseoir à côté d'elle.

Ben, tu m'avais pas vue? J'étais là-bas, dans un coin, à les regarder... Ils sont biens, hein? J'aime beaucoup Thorn et sa manière de décoder les phrases que disent les femmes... Serguei est... comment dire... vachement doué aussi! Et Terenemar est tellement timide, il faudrait qu'il se lâche un peu plus... Ahlàlà, ça n'arrange pas mon égo, tout ça
De quoi voulais-tu me parler, au fait?

ben non je ne t'avais pas vu ...steack haché?

Et bien j'aurais voulu savoir si ça te generai que j'organise des joutes entre ces trois là ...sachant que le gagant pourrait recevoir de toi un baiser et un ruban ...ou autre chose...

Non, je steak haché pas, lustucru?

Marvailh écoute avec attention la proposition de Yud...

Ah que nenni, ça me gênerait pas, bien au contraire, ça serait génial
Il gagnerait... euh... répète-moi ça? Une joute quoi? Verbale? Armée? J'aime bien les joutes verbales, moi... Mais bon, après c'est comme vous voulez, hein...

Marvailh renifle sa fleur qui commence vaguement à se fâner...

Ca sent vachement bon, ces trucs, là... quoi?... des roses? Ah oui... J'me disais aussi, ça a pas trop la tête d'un chrysanthème... Oui, donc, il gagnerait... euh... un autoportrait dédicacé? Non, je déconne, ça ferait trop de jaloux et on serait repartis pour encore une joute

Marvailh réflectionne...

Bah, va pour le bisou et le ruban! Pis autre chose aussi s'ils veulent, j'ai pas trop d'idées... C'est-y pas généreux, ça? Evidemment, je serais l'arbitre...

Marvailh soupire. Que ne faut-il pas faire pour faire don de soi...

Bah pourquoi ça serait pas moi, l'arbitre?
Snif...

Ah, j'entend Serguei parler dans son sommeil, caché derrière un bosquet du parc... Il est question de lancer de pintes en guise de joutes... Cruel, non?

Marvailh sautille dans le parc en lançant des poignées de pétales roses partout.

Ooouuuuuh ils se bââââââttent!!!